Shikoku : pèlerinage aux 88 temples / monts Kii : chemin millénaire sans égal
Fréquenté chaque année par plusieurs centaines de milliers de pèlerins japonais, l’itinéraire attire de plus en plus de voyageurs occidentaux (principalement randonneurs et cyclistes), lui valant le titre (pour le moins vulgaire donc vendeur) de «COMPOSTELLE JAPONAIS».
Extrêmement populaire au Japon, l’itinéraire reste encore un “hors sentiers battus” pour l’Occident, pour peu de temps…
Au sud de l’ancienne capitale impériale Kyoto, la péninsule des monts Kii et l’île de Shikoku sont parcourues par des chemins de pèlerinages antiques en partie classés au patrimoine mondiale de l’Unesco : Deux itinéraires historiques plongeant le marcheur au coeur de la culture nippone, à la rencontre de sanctuaires shintôs et bouddhistes nichés pour la plupart au coeur d’épaisses forêt coiffant le relief tourmenté, face au Pacifique, reflets d’une tradition millénaire et toujours vivante de sanctification des montagnes.
Il s’agit de se fondre en même temps dans une nature puissante et le paradoxe d’une société qui s’est comportée comme le plus gros bétonneur de la planète et cependant continue d’être obsédée par un équilibre écologique, technique, faisant de nature la valeur suprême.
Une boucle de 1 500 km depuis la solitude sauvage de certains ermitages hors du temps jusqu’aux foules du mont Koya (15 millions de visiteurs/an) au coeur d’une culture «Shinto-bouddhiste» qui a fait de la montagne une composante essentielle de son identité dont l’esthétique et l’éthique s’y réfèrent en permanence…
Après avoir marché sur les chemins de Compostelle et Jérusalem, Léonnard Leroux est parti 3 mois dans les pas du moine Kukai (774 – 835), philosophe, poète, calligraphe et habile homme politique, figure marquante de la civilisation japonaises.
Fréquenté chaque année par plusieurs centaines de milliers de pèlerins japonais, l’itinéraire attire de plus en plus de voyageurs occidentaux (principalement randonneurs et cyclistes), lui valant le titre (pour le moins vulgaire donc vendeur) de «COMPOSTELLE JAPONAIS».
Extrêmement populaire au Japon, l’itinéraire reste encore un “hors sentiers battus” pour l’Occident, pour peu de temps…
Au sud de l’ancienne capitale impériale Kyoto, la péninsule des monts Kii et l’île de Shikoku sont parcourues par des chemins de pèlerinages antiques en partie classés au patrimoine mondiale de l’Unesco : Deux itinéraires historiques plongeant le marcheur au coeur de la culture nippone, à la rencontre de sanctuaires shintôs et bouddhistes nichés pour la plupart au coeur d’épaisses forêt coiffant le relief tourmenté, face au Pacifique, reflets d’une tradition millénaire et toujours vivante de sanctification des montagnes.
Il s’agit de se fondre en même temps dans une nature puissante et le paradoxe d’une société qui s’est comportée comme le plus gros bétonneur de la planète et cependant continue d’être obsédée par un équilibre écologique, technique, faisant de nature la valeur suprême.
Une boucle de 1 500 km depuis la solitude sauvage de certains ermitages hors du temps jusqu’aux foules du mont Koya (15 millions de visiteurs/an) au coeur d’une culture «Shinto-bouddhiste» qui a fait de la montagne une composante essentielle de son identité dont l’esthétique et l’éthique s’y réfèrent en permanence…
Après avoir marché sur les chemins de Compostelle et Jérusalem, Léonnard Leroux est parti 3 mois dans les pas du moine Kukai (774 – 835), philosophe, poète, calligraphe et habile homme politique, figure marquante de la civilisation japonaises.